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Xianxia et romance d’immortels...
The Legend of Shen Li jongle habilement entre ces genres avec des personnages matures. L’intrigue manque d’originalité, tout comme ses personnages. La structure est similaire à celle de la plupart des xianxia et elle ne présente pas de concepts inédits. Néanmoins, il se révèle engageant dès son premier épisode, malgré un milieu extrêmement long pour un final satisfaisant.
L’histoire commence par Shen Li, Seigneur du Ciel Azur. S’opposant au mariage politique avec le fils de l’empereur céleste, elle se blesse lors de sa fuite. Elle tombe dans le monde des mortels et prend l’apparence d’un poulet (ou plutôt un phénix hybride). Il ne s’agit pas d’un poulet ordinaire, c’est évident ! Elle est sauvée de la lame du boucher par un mortel malade, Xing Yun. Il n’a de mortel que son apparence, étant donné qu’il s’agit du dernier dieu du royaume des immortels encore vivant.
Les personnages occupent une place centrale. Leur romance est très lente tout en correspondant au rythme de l'histoire. Cependant, j’ai trouvé le couple principal un peu trop idéal. Shen Li et Xing Zhi ne rencontrent pas de conflits qui mettent à mal leur amour. De même quant au fait que les autres dieux aient été punis d’être tombés amoureux, mais pas Xing Zhi. Tout cet amour interdit pour finalement voir Xing Zhi comme une exception. Pourquoi ? On l’ignore… En revanche, l’arc de Liu Yu et Feng Lai était brillant. Cet arc m’a happé par la force émotionnelle de ce couple, mais aussi son impact sur le monde des immortels. J’aurais volontiers échangé de nombreuses longueurs de l’histoire pour le Roi des Chimei.
Ensuite, le personnage de Mo Fang (Xin Yun Lai) clairement sous-estimé. Le pauvre gars ne sert que de réceptacle pour un chimei et son père. D’ailleurs, le personnage manque cruellement de charisme lorsqu’il est possédé. Contrairement à l’assurance et l’attraction qu’il dégage en tant que général de l’armée de Shen Li. Au même titre, les antagonistes sont des archétypes décevants. Les méchants sont méchants, point. De plus, il est dommage de voir certaines morts passer inaperçues. Les méchants meurent et c’est tout. La mort de Mo Fang est sûrement une des pires, d’ailleurs.
Les CGI sont très jolies et généreuses. Les costumes sont très beaux pour la plupart. L'OST était un peu répétitive, notamment le thème principal de Shen Li. Enfin, les figurants auraient pu être mieux dirigés, cela aurait évité de les voir en fond en train d'échanger des coups dans le vide, littéralement.
En bref, The Legend of Shen Li est un xianxia qui présente certains défauts, mais qui reste intrigant grâce à un excellent équilibre de ces genres, malgré un manque d’action.
L’histoire commence par Shen Li, Seigneur du Ciel Azur. S’opposant au mariage politique avec le fils de l’empereur céleste, elle se blesse lors de sa fuite. Elle tombe dans le monde des mortels et prend l’apparence d’un poulet (ou plutôt un phénix hybride). Il ne s’agit pas d’un poulet ordinaire, c’est évident ! Elle est sauvée de la lame du boucher par un mortel malade, Xing Yun. Il n’a de mortel que son apparence, étant donné qu’il s’agit du dernier dieu du royaume des immortels encore vivant.
Les personnages occupent une place centrale. Leur romance est très lente tout en correspondant au rythme de l'histoire. Cependant, j’ai trouvé le couple principal un peu trop idéal. Shen Li et Xing Zhi ne rencontrent pas de conflits qui mettent à mal leur amour. De même quant au fait que les autres dieux aient été punis d’être tombés amoureux, mais pas Xing Zhi. Tout cet amour interdit pour finalement voir Xing Zhi comme une exception. Pourquoi ? On l’ignore… En revanche, l’arc de Liu Yu et Feng Lai était brillant. Cet arc m’a happé par la force émotionnelle de ce couple, mais aussi son impact sur le monde des immortels. J’aurais volontiers échangé de nombreuses longueurs de l’histoire pour le Roi des Chimei.
Ensuite, le personnage de Mo Fang (Xin Yun Lai) clairement sous-estimé. Le pauvre gars ne sert que de réceptacle pour un chimei et son père. D’ailleurs, le personnage manque cruellement de charisme lorsqu’il est possédé. Contrairement à l’assurance et l’attraction qu’il dégage en tant que général de l’armée de Shen Li. Au même titre, les antagonistes sont des archétypes décevants. Les méchants sont méchants, point. De plus, il est dommage de voir certaines morts passer inaperçues. Les méchants meurent et c’est tout. La mort de Mo Fang est sûrement une des pires, d’ailleurs.
Les CGI sont très jolies et généreuses. Les costumes sont très beaux pour la plupart. L'OST était un peu répétitive, notamment le thème principal de Shen Li. Enfin, les figurants auraient pu être mieux dirigés, cela aurait évité de les voir en fond en train d'échanger des coups dans le vide, littéralement.
En bref, The Legend of Shen Li est un xianxia qui présente certains défauts, mais qui reste intrigant grâce à un excellent équilibre de ces genres, malgré un manque d’action.
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