Lutter pour arriver, et puis se venger,... classique !
J’ai beaucoup aimé la première moitié, moins la seconde.
En fait, on a là le schéma classique du jeune homme pauvre mais avec un cœur de bronze et une volonté de fer (pardon pour ces comparaisons métalliques, mais elles s’imposent !) dont le désir de vengeance va être l’épine dorsale de sa vie. Il veut détruire JangDa.
En face de lui le non moins classique schaebol dur, cruel (faut voir ce qu’il fait de son fils aîné !) au fils incapable parfait gosse de riche mais avec aussi un fils illégitime qui sans arrêt mettra des bâtons dans les roues de Sae Royi. Ce qui apporte une air frais de nouveauté, ce sont les amis que Sae Royi s’est fait au cours de ses années de prison (Choi Seung Kwon) ou sur les chantiers où il était ouvrier(Ma Hyu Ni, transgenre en cours de féminisation) et ceux qui viennent s’ajouter à son groupe : le fils illégitime de Sang, Geun Won, un métis africano-coréen Toni Kim à la recherche de son père, et Jo Yi Ses, une jeune fille de 20 ans, brillante, dure et cynique, qui, pour le suivre renonce à l’université.
Toutes ces figures nouvelles et originales donnent un ton d’ouverture au début du drama, mais au fil de l’histoire, il devient évident que leur personnage ne sera que très peu exploité, leur rôle étant surtout de mettre en valeur le grand cœur et l’esprit d’égalité de Sae Royi.
la seconde partie entièrement consacrée à l’ascension sociale et financière de Sae Royi repousse un peu tout ce petit monde dans l’ombre.
Au total, c’est un drama très agréable à suivre, mais parfaitement convenu au niveau du scénario et de la psychologie des personnages, sauf l’héroïne, qui tranche par un côté cynique et froidement pragmatique, qu’elle va beaucoup adoucir au contact de l’archange Park Sae Royi !! Il est tellement bien que j’ai même cru une seconde qu’il allait pardonner au vieux saligot qui lui a gâché la vie ! Heureusement il se rappelle qu’il est humain et le laisse à son marasme !
On ne s’ennuie pas, mais la fin est un peu longue, mais on ne s’ennuie pas, mais je n’ai jamais été vraiment enthousiaste, sauf… sauf que je me suis régalée de voir pendant16 épisodes Park Ses Joon, avec une coupe de cheveux déroutante, mais qui, au fil de l’histoire lui va de mieux en mieux, à mi chemin du crâne rasé du bagnard et du bol médiéval, et j’imagine que le coiffeur de plateau devait repasser tous les matins pour retailler le millimètre qui avait poussé la nuit, pour que ce casque luisant et parfait ne change pas d’un plan sur l’autre !
Bref, drama très regardable, mais sans plus !
En fait, on a là le schéma classique du jeune homme pauvre mais avec un cœur de bronze et une volonté de fer (pardon pour ces comparaisons métalliques, mais elles s’imposent !) dont le désir de vengeance va être l’épine dorsale de sa vie. Il veut détruire JangDa.
En face de lui le non moins classique schaebol dur, cruel (faut voir ce qu’il fait de son fils aîné !) au fils incapable parfait gosse de riche mais avec aussi un fils illégitime qui sans arrêt mettra des bâtons dans les roues de Sae Royi. Ce qui apporte une air frais de nouveauté, ce sont les amis que Sae Royi s’est fait au cours de ses années de prison (Choi Seung Kwon) ou sur les chantiers où il était ouvrier(Ma Hyu Ni, transgenre en cours de féminisation) et ceux qui viennent s’ajouter à son groupe : le fils illégitime de Sang, Geun Won, un métis africano-coréen Toni Kim à la recherche de son père, et Jo Yi Ses, une jeune fille de 20 ans, brillante, dure et cynique, qui, pour le suivre renonce à l’université.
Toutes ces figures nouvelles et originales donnent un ton d’ouverture au début du drama, mais au fil de l’histoire, il devient évident que leur personnage ne sera que très peu exploité, leur rôle étant surtout de mettre en valeur le grand cœur et l’esprit d’égalité de Sae Royi.
la seconde partie entièrement consacrée à l’ascension sociale et financière de Sae Royi repousse un peu tout ce petit monde dans l’ombre.
Au total, c’est un drama très agréable à suivre, mais parfaitement convenu au niveau du scénario et de la psychologie des personnages, sauf l’héroïne, qui tranche par un côté cynique et froidement pragmatique, qu’elle va beaucoup adoucir au contact de l’archange Park Sae Royi !! Il est tellement bien que j’ai même cru une seconde qu’il allait pardonner au vieux saligot qui lui a gâché la vie ! Heureusement il se rappelle qu’il est humain et le laisse à son marasme !
On ne s’ennuie pas, mais la fin est un peu longue, mais on ne s’ennuie pas, mais je n’ai jamais été vraiment enthousiaste, sauf… sauf que je me suis régalée de voir pendant16 épisodes Park Ses Joon, avec une coupe de cheveux déroutante, mais qui, au fil de l’histoire lui va de mieux en mieux, à mi chemin du crâne rasé du bagnard et du bol médiéval, et j’imagine que le coiffeur de plateau devait repasser tous les matins pour retailler le millimètre qui avait poussé la nuit, pour que ce casque luisant et parfait ne change pas d’un plan sur l’autre !
Bref, drama très regardable, mais sans plus !
Vond je deze recentie nuttig?